jo hee seo.
Identité
Prénom, Nom jo hee de son prénom, seo comme héritage de la figure maternelle, à n'y voir que le reflet flou de son souvenir.
Âge 23yo.
Date/lieu de naissance 23, march, 1998. busan, south korea.
Job/$$$ mannequin quand c'est son air d'astre qui l'emmène à l'émerveillement des projecteurs.
Statut civil/orientation célibataire et hétérosexuelle.
A Londres depuis trois ans environ.
Caractères arrogant ■ brillant ■ seductive ■ lovely ■ charismatic ■ smiling ■ savage ■ optimist ■ respectful ■ reckless ■ broken - autrement, c’est la muse divine.le charme à l’état pur, joyau que l’on désire croquer, à s’en blesser. divine aux airs de reine, à couronner son monde. la môme brûlante, désire un peu plus déchiré l’épiderme marquant. les mots durs à la commissure des lèvres, le corps en transe sur la musique de mauvaise qualité. ailleurs elle devient aphrodite. brutalité dans la beauté, épouse les fantasmes, devient les songes. elle est belle, la môme aux airs d’ange, suscite les envies, la gamine, attise les feux, quand elle brûle de vivre). consciente presque inconsciente, à se plaire dans les dangers, pour le bon vouloir de prendre une grande bouffée d’air. c’est la gamine qu’on désire, quand ce qu’elle désire c’est s’échapper, son monde qui tourne autour d’elle, ce putain de sourire à faire perdre l’esprit. les curieux qui s’y plaisent, et elle, bonne vivante, s’empare du monde. pièce maîtresse de son ivresse.
Personnage inventé ou pré-lien personnage inventé.
Une histoire
01. divine sous les airs de l’insouciance, aux traits du visage qui passionnent. l’innocente beauté sous les yeux brillants des grandes personnes, à jamais réellement comprendre si le monde tournait rond. à lui demander les airs des dieux, à l’instruire des mots ennuyeux, des formules qu'elle saisit jamais vraiment. les traditions qu’on lui inculque, sans jamais qu’elle ne sache réellement les prendre au sérieux. l’enfant des désillusions, à jamais réellement rêver d’utopie. l’être brillant, à la beauté qui submerge dans les eaux mouvementées, à l’addiction qu’elle fait naître sur le bout des lèvres - c’est son prénom que l’on répète sans cesse.
02. langue qui manie bien les différences, aux langues étrangères qu’elle manipule sans erreur - l’équation n’est jamais fausse, résultat grandiose quand ce sont les jolies paroles qu’elle fait glisser sur les lippes. du français jusqu’à l’anglais, les voyages pour se débarrasser de l’enfant, môme qui surmonte le deuil à sa manière. à devenir démon quand c’est l’ange que l’on semble pourtant idéaliser. les traditions réduites à néant car ce sont les échanges scolaires qui renforcent le fort caractère - jusqu’à croire l’arrogance qui naît au coin de ses lèvres. quand elle est maze, fruit des démons.
03. à la vingtaine d’années, l’ivresse de la jeunesse. elle est frivole, la nymphe. centre des désirs, fantasmes inavouables, à les étouffer sous les airs de gentille fille. brillante, l’étudiante, à épouser la littérature, glisse si aisément sous le timbre de sa voix. et elle joue, charmeuse, de son corps, de sa séduction en amont. les déboires amoureux qu’elle collectionne jusqu’aux nuits qu’elle ne compte plus, aux chairs dont elle s’abandonne, sans les remords d’un oubli au petit matin. elle marque, l’enfant sauvage, défie la raison plus que l’abandon.
04. enfant au paternel évaporé, juste un souvenir à peine évoqué. à découvrir peut-être, l’humiliation d’un amour fébrile, à celui jamais naquit. les images qui sursautent contre l’écran qui s’anime - elles s’offrent elles-même la terreur, y’a rien de réellement plus horrifique. à débuter les enfers, déchaîner les géhennes quand la peur ronge, jusqu’à ce qu’il retrouve, le géniteur, à croire en la douleur. à la mère qui avait su protéger jusqu’à atteindre l’âge des grandes personnes.
05. et les jours s’écoulent, dans la profonde mélancolie de la monotonie des jours - heureux, ou malheureux ? c’est l’abandon d’une famille d’illusions, jamais la perfection des autres. à parfois encore rêver des douceurs de ses bras - la figure maternelle, il y a douze ans de cela, abandonnée dans l’étreinte de la mort. délicate anémone, du poison sur les pétales. et la figure paternelle qui tombe à son tour dans les oublis, tourbillon de terreur qui s’éteint, à laisser un saccage derrière lui - la destruction comme simple songe.
06. cauchemar éveillé, c'est comme les terreurs nocturnes à s'y enfermer, crier au désespoir quand c'est l'appel à l'ailleurs qui retentit. à fuir les habitudes, brûler la routine de ces nouveautés. londres, à la vie des nouveaux départs, à devenir égérie quand elle n'était que fantasme.
Derrière l'écran
Prénom et/ou pseudo elio.
Âge 23yo..
région et/ou pays france.
fréquence de connexion tous les jours si je peux !
autre(s) je reprends le rp après pfiou, un long moment loin des forums, alors j'espère pouvoir m'intégrer ici