Identité
Prénom, Nom Jamie, née Harding, Castle de par son mariage avec Dylan
Âge 33 ans
Date/lieu de naissance 12 décembre, Londres
Job/$$$ Sage-femme
Statut civil/orientation Mariée mais séparée, hétéro
A Londres depuis toujours, mais elle a quitté la ville un long moment pour faire ses études
Caractères Jamie est une personne très dévouée, que ce soit en amour, en amitié ou au travail. Elle se donne corps et âme pour faire en sorte que tout le monde soit heureux, même au dépend de ses envies à elle. Très têtue Jamie a du mal à lacher prise. Elle aime (ou aimait) son train de vie mais a très peur de l'avenir
Personnage inventé ou pré-lienPré-lien
@Nina GreysonUne histoire
Bonjour tout le monde.
Suis-je censée raconter mon histoire depuis ma naissance ? Celle de mes parents avant moi ? Tout ce que je sais c’est ce dont je me souviens. Je pense que rester concentrée sur ses souvenirs à soi est bien plus authentique que l’histoire expliquée par une tierce personne. Je n’ai pas eu la chance d’être l’ainée dans la famille. Je suis une petite sœur pour quelqu’un, comme je suis grande soeur pour d'autres, chacuns avec une personnalité et un tempérament différent. Nous avons nos hauts et nos bas comme dans toutes les familles mais on s’aime tous. On ne se l’avoue peut-être pas assez mais que voulez-vous, entre frères et sœurs c’est surtout le jeu du “Je t’aime moi non plus”. Nous sommes tous les quatre différents mais nous nous complétons tellement bien. Malheureusement, nous avons perdu l'un des nôtres, Enry. La tête pensante de la famille. Il ne se passe pas un jour sans que je ne pense à lui... Nous sommes une famille de ce qu'il y a de plus normale ici. On s'entraide, on s'appelle souvent et on se voit pratiquement tous les dimanches pour le brunch. Enfin... jusqu'à il y a deux ans.
Mais pour en revenir à mon histoire, j'ai passé ma plus tendre enfance dans une famille aimante. J'avais de bonnes notes à l'école et je ne m'attirais pas d'ennuis. Au début de mon adolescence, j'ai rencontré Arthur. Arthur n'est pas vraiment du même monde que moi. J'entends par là, qu'il n'a pas besoin de trimer comme nous tous, pour avoir ce qu'il veut. Il suffit de demander à maman ou papa et en un claquement de doigts, il est limite servit sur un plateau d'argent. Pourtant, on s'est lié d'amitié. Il arrivait d’un coin de l'Ouest des États-Unis. Je crois que Ses parents faisaient fortune dans des entreprises pétrolières dans tout le pays -ou quelque chose comme ça, et il fréquentait une école privée qui le soulait. On s’était rencontrés dans un pub où les jeunes de notre âge assez branchés aimaient passer du temps. Jamais je n'ai cru qu’on allait partager une belle histoire lui et moi. Ma première histoire, à vrai dire. Oui, on peut le dire, c’était une belle idyle cette année-là mais il fallait se rendre à l’évidence : Arthur et moi, on n'était pas vraiment du même monde et c’est ce qui a fini par nous séparer. Je ne regrette pas ces moments passés avec lui. Ensuite, on s’est perdus de vue quelques mois après notre rupture. Je crois même qu'il est retourné vivre dans son coin de paradis.
J'ai finalement décidé de quitté la ville, le temps de mes études. Je voulais devenir Sage-femme. Dans ma tête, j'ai toujours voulu fonder une famille, avoir un mari, des enfants une belle maison, un métier que j'aimerais et même un chien ! J'avais tout planifier jusqu'aux moindres détails. Et pour ça, j'allais commencer a ce qui se rapprochait le plus de la maternité : Mon métier. Je me souviendrais toujours de ce tout petit être que j'ai mis au monde. Mon tout premier bébé. C'était une adorable petite fille et la maman avait fait un travail formidable. Un accouchement de rêve ! Je me souviens aussi que c'est ce jour là, que mon envie de maternité est devenu beaucoup plus fort. Je savais qu'il ne fallait pas brûler les étapes mais j'avais organiser tout mon avenir et j’avançais à mon rythme. Plus tard, j'ai rencontré l'homme qui partagerait ma vie : Dylan. Il avait tout pour plaire. La belle gueule, le physique d'un Dieu, la gentillesse et la prévenance d'une gentleman. Il était un peu mon supérieur à l'hôpital. Lui est pédiatre, et moi sage femme. Notre première rencontre n'a pas été de tout repos. J'ai mis ce petit bébé au monde beaucoup trop tôt avec des anomalies. J'ai secondé le Dr Castle pendant plusieurs semaines pour faire en sorte d'offrir le plus de confort possible a ce petit amour. J'ai appris a connaitre ce médecin et c'est ce qu'il m'a fait tombé amoureuse de lui. Mon dieu, que je l'aimais cet homme !!!!
Après cela, tout s'est enchainé très vite. On est sorti ensemble. Nous sommes revenu vivre ici, on s'est financés puis on s'est mariés. Nous avons acheté notre maison peu de temps après notre mariage et on a adopté Cece, notre chienne Labrador. Une vraie crème. Tout était pratiquement coché sur ma liste. Oui, parce qu'il nous manquait quelque chose à ce bonheur. Une dernière petite chose : Un bébé. Un "mini-nous" qui complèterait notre merveilleuse bulle d'amour. Au début, j'étais tellement excitée. Je me disais "ça y est, ton rèves est à portée de main, saisi-là sans crainte" C'est ce que j'ai fait. Mois après mois, mon test de grossesse n'affichait pas ces deux petites barres roses que j'espérais. Chaque mois, on se disait "Cette fois c'est la bonne !" Et chaque fois, je pleurais. Je pleurais à l'intérieur. Pourquoi ça ne marche pas ? Pourquoi n'es-je pas le droit a ce bonheur ? Alors Avec Dylan on est allés consulté un médecin. Il était évident qu'il y avait un problème. De lui ? de moi ? D'aucun de nous ? On l'ignorait. Personne ne pouvait mettre un terme scientifique a notre incapacité à créer la vie. C'est ainsi qu'on a commencé à vivre de façon très organisée, chronométrée oserais-je dire. Il y avait des jours précis pour faire l'amour, pour prendre des pilules, pour se faire des injections... Tout était défini à l'avance et c'est vraiment un tue-l'amour ce mode de vie.
On se lance donc dans la procréation médicale, on dépense une vraie petite fortune dans les traitements. On nous laisse entrevoir l'espoir après toutes ces inséminations (Je ne les compte plus, tellement y'en a eu) mais cet espoir n'est qu’éphémère. J’ai fait deux fausses couches l’année de notre rupture. Je n’en ai rien dit à personne, même pas à ma famille, ni à mes plus proches amis ! J’ai besoin de garder ça pour moi, pour l’instant. Je ne me sens pas prête à mettre des mots, oralement j’entends, sur ce qui m’est arrivé. Entre tout cela, j'ai perdu une partie de moi. Mon frère Enry est mort et nous n'avons pas pu profiter de lui, de ces derniers moments si précieux. Il était avec Nina, sa femme. Je lui en veux énormément et me dit que si elle n'avait pas été dans sa vie, il serait peut-être encore là, auprès de nous. Nous n'avons pas pu se dire au revoir, parce qu'elle l'a emmener loin de sa famille. Faire un voyage, tu parles !!!! Mon mariage est parti complètement en vrille après ça, Je n'arrivais pas a garder plus de deux mois une grossesse, je déprimais Et je sais que c’est la raison pour laquelle Dylan est parti. Une excuse parmi tant d’autres pour prendre la tangente me direz-vous mais Notre couple ne fonctionnait plus depuis des mois et on s’est quand même obstinés à réessayer comme si ça allait arranger les choses. Au fond de moi, je voulais que ça marche. Je me disais que Dylan et moi on allait devenir plus solide après ça mais ça n'a pas eu l'effet escompter. La prochaine étape de ma vie c'est de recommencer à zéro. Je ne sais pas où l'on s'en va avec Dylan, s'il veut qu'on divorce ou pas mais même si je l'aime plus que tout au monde, je suis arrivée à un tournant dans ma vie où devenir maman est viscérale... Est-ce que c'est vraiment ce que je veux, être une mère célibataire ? tout est tellement flou dans ma tête... J'ai besoin qu'on recolle les pots cassés avec Dylan, le veut-il, lui aussi ??
Derrière l'écran
Prénom et/ou pseudo Mel/Psyko
Âge 35
région et/ou pays Québec
fréquence de connexion 3-4/sem
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