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memory's faded, the feeling subsides (natalia)

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memory's faded, the feeling subsides (natalia)

‣ envoyé Mar 14 Déc - 17:38



MEMORY’S FADED, THE FEELING SUBSIDES

« J’ai le temps, c’est bon. » Les risques du métier qui mènent à ces mots. Non, tu n’as pas le temps, Desmond. Dans une demi-heure, tu dois voir cette fameuse wedding-planner. Dans moins de trente minutes, tu devras discuter plan de tables, fleurs, tissu pour les serviettes. Tu ne devras pas être au service des urgences pour accueillir un énième patient et davantage te surcharger toi et tes collègues de travail. Une bonne notion du temps que tu as, d’habitude. La mauvaise foi, à vrai dire. Quelque peu vexé que ta future épouse ait préféré faire appel à un professionnel plutôt que de faire tout de façon naturelle, personnelle et simple. C’est ce qui te fait amener cet homme dans cette civière en salle de réanimation. Accident de voiture mêlant un cycliste comme si souvent. Tout se passe rapidement, les procédures, tu les connais, tu les refais assez souvent pour ça. Des médecins urgentistes, d’autres infirmiers et enfin un chirurgien arrivent. « Tu devais pas partir il y a dix minutes, toi ? », demandes le chirurgien en question, un de tes vieux amis. Pas besoin de parler, tu fais la moue, faisant comprendre à tout le monde que tu ne veux pas partir. « Arrête de faire cette tête et barre-toi ! La wedding-planner te coûtera aussi cher que tout ce qu’elle te proposera mais l’avantage c’est que ta douce ne te posera pas des questions sur la couleur des assiettes au milieu de la nuit après un service de vingt heures. » Admettre que ton ami a raison ? C’est trop en demander. Toutefois, tu t’éloignes du respirateur artificiel pour laisser celle qui est, techniquement, ta supérieure à la charge de la machine.

Moins de dix minutes, tu sors des urgences, chemise bleue foncée, pantalon de la même couleur et mocassins marrons. Rares sont les fois où tu prévois de tels vêtements pour sortir de l’hôpital, malgré tout, bien que tu te fais pas une joie d’avoir un tel rendez-vous, tu ne veux pas faire honte à ta fiancée ou même montrer ouvertement que ne pas préparer l’événement le plus important de ta vie te vexe au plus haut point. Râler à ce sujet, tu l’as d’ores et déjà suffisamment fait. Prendre sur toi, être content de te marier avec celle que tu penses être la bonne prend, évidemment, le dessus. C’est dans la cité de Westminster que l’entreprise de préparation de mariages est placée, pas trop loin du parc… de quoi décompresser si le premier rendez-vous se passe mal. Alors que tu t’apprêtais à pousser la porte, ton téléphone retentit. Un message de ta future-femme. Pour la première fois depuis le début de votre relation, elle sera en retard : le boulot qui s'accumule. Mieux que personne, tu connais et comprends ça. C’est seul que tu vas devoir assurer le rendez-vous, en tout cas, les quinze premières minutes.

En même temps que tu rentres dans les locaux, ton bipeur résonne. Un rapide coup d’œil à celui-ci, sans grande surprise, les urgences. Ignorer l’appel ne te fait pas plaisir, cependant, tu as pris une partie de ton après-midi, tout le monde est au courant et t’a même forcé à quitter ton poste. « Excusez-moi, j’ai prévenu que je ne serais pas là mais ils insistent. » Un large sourire amusé apparaît avant que tu ne lèves ton regard vers la personne engagée par ta douce pour votre mariage. Aussitôt vois-tu le visage de la jeune femme, aussitôt ton expression change, sombre. Il y a encore quelques années en arrière, cette scène était tout ce dont tu rêvais, ce dont tu aurais pû tuer. Aujourd’hui, tu ne sais pas comment réagir. Dois-tu être heureux de voir Natalia en bonne santé, en vie ? Dois-tu lui en vouloir qu’elle ne t’ait rien dit concernant son retour ? Impossible de mettre des mots sur ce que tu ressens. Tant de choses se bousculent à l’instant T. Tout d’un coup, tu te sens nauséeux, tu as l’impression de ne plus bien tenir sur tes jambes, que tu peux t’écrouler à n’importe quel moment, tu ressens cette gêne lorsqu’il en vient à respirer. « Il faut que je m’assois… », dis-tu, saccadé. Ça ne peut tout bonnement pas être réel.


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Il fallait croire que tous les couples avaient décidé de passer à l'étape supérieure en même temps, le carnet de commande de l'agence ne désemplissait pas. Il fallait même maintenant mettre certains clients sur liste d'attente. Natalia avait la chance de travailler pour une grande agence de wedding planners, plutôt bien réputée sur Londres. Ce n'était pas une voie toute tracée pour elle, elle au passé de militaire, son quotidien était bien différent de celui qu'elle avait il y a encore trois ans. Elle s'était un peu retrouvée par hasard ici, donnant un coup de mains à son amie qui montait son agence. Elle s'y trouva une seconde voie, même si au début ce fut étrange de se dire qu'elle allait organiser des mariages alors que celui qu'elle avait prévu autrefois, n'avait jamais eu lieu. Ce fut un sentiment étrange au début mais elle avait fini par s'y faire. Sa vie amoureuse elle n'y pensait pas trop, pas depuis sa relation passée. Elle ne s'était jamais ouverte à un autre homme et elle n'y pensait pas à vrai dire. Pour l'instant, sa vie lui convenait parfaitement. 

En ce début d'après-midi, elle venait de terminer un rendez-vous, en profitant pour attraper un café avant d'enchainer sur un autre. Son assistante lui indiqua que monsieur était arrivé et que madame aurait un peu de retard. Cela ne l'empêcherait pas de commencer sauf s'il insistait pour attendre sa fiancée. Elle entra dans son bureau, refermant la porte, ses talons claquant au sol quand un bipeur retentit la coupant dans son élan, l'homme s'en saisit pour l'arrêter. « Excusez-moi, j’ai prévenu que je ne serais pas là mais ils insistent. » Quand son regard croisa le sien, elle s'arrêta net, tentant de réaliser si elle rêvait ou si Desmond se trouvait bien là devant elle. Son coeur loupa un battement, son estomac se noua alors, ça elle ne s'y attendait pas. Il était vrai que la jeune femme qui avait pris rendez-vous avec elle n'avait pas précisé le nom de son fiancé, elle n'était pas obligée. Si Natalia avait su, organiser le mariage de son ex-fiancé. Cela devait être une blague, le destin avait vraiment un drôle de sens de l'humour. « Il faut que je m’assois… » Desmond avait l'air aussi bouleversé qu'elle, clairement pas prêt non plus à croiser son chemin de nouveau, pas de cette manière là en tout cas. Tout le temps qu'elle avait passé à soigneusement l'éviter depuis qu'elle savait qu'il avait refait sa vie et là il fallait qu'elle se prenne une bonne claque en pleine figure. Après encore quelques secondes elle finit par se redonner une contenance, elle tenta en tout cas. "Je.. Je t'en prie assis-toi." Dit-elle en désignant l'un des fauteuils face à son bureau. "Je vais te chercher un verre d'eau." Elle posa sa tasse de café sur son bureau avant de ressortir de la pièce, elle y étouffait. Elle se dirigea vers la cafétéria, trainant quelques instants pour tenter de reprendre ses esprits alors que tout se bousculait dans sa tête. Elle souffla un bon coup puis retourna dans cette pièce qu'elle souhaiterait maintenant éviter à tout prix. Elle lui tendit le verre d'eau avant de prendre place derrière son bureau. Pour la première fois, elle ne se sentait pas à l'aise. Le silence était tombé entre eux, elle finit par se racler la gorge avant de réussir à aligner quelques mots. "Je.. Je n'avais aucune idée que.. Ta.." Ce mot peina à sortir de sa bouche, ça la brûlait presque. "Ta.. fiancée n'avait pas mentionné ton nom.. Je suppose qu'il en était de même pour le mien.." Cela était évident sinon Des' ne se tiendrait pas face à elle. Elle n'arrivait même pas à le regarder sans sentir son estomac se nouer, en même temps cela faisait déjà cinq ans. "Des félicitations s'imposent je crois même si je ne t'aurais jamais imaginé engager un wedding planner.." Ça sonnait faux mais bon elle ne pouvait pas dire le contraire et devait le féliciter même si elle trouvait surprenant qu'il ait accepté ce genre de démarches. Elle essayait surtout de détendre l’atmosphère devenue pesante, faisant comme si elle retrouvait un vieil ami perdu de vue alors que la situation était bien plus complexe que cela.

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Un profond sentiment de mal-être s’installe dans ton corps. Une boule dans le ventre se forge. Une respiration saccadée, inégale. Une migraine naissante. Que tu gères mal les situations stressantes et embarrassantes ! Il est vrai que pour quelqu’un qui aime avoir toujours le contrôle sur tout, tu n’es pas gâté. Pour la première fois en cinq ans, tu retrouves cette femme que tu as tant aimé. Aimé à en crever. Aimé à souffrir en damné. De toutes les situations que tu as pu t’inventer dans ton esprit, jamais, ô grand jamais, tu n’as pensé à la possibilité que Natalia ne soit ni plus, ni moins, que la préparatrice de ton mariage. Un mariage dont elle n’est pas la mariée. Comment la situation pourrait-elle être plus compliquée ? Avec les années, tu l’as compris, de toute façon, rien n’est jamais facile avec ton ex-fiancée. Malgré la séparation, tu en payes encore les frais. Triste ironie… L’esprit embrouillé, impossible de réfléchir et de penser clairement, tu t’assois sur un fauteuil, essayer de calmer tes nerfs mises à vives. Machinalement, tu passes ta main sur ton visage, les yeux fermés. Espérant secrètement qu’en les ouvrant, une toute autre personne soit en face de toi, prête à préparer ton mariage. Tu l’entends quitter la pièce. Un moment de calme, juste avec toi-même. Cependant, tu n’as aucunement la faculté de penser à autre chose que sa présence. Cette présence qui te rendait autrefois si heureux mais qui, maintenant, te rend mal à l’aise, triste. Incapable de bien réagir lorsqu’elle est là. Ce naturel, la base de votre couple pendant ses cinq ans, a disparu pour laisser place à la confusion, qui règne dorénavant en maître. Des pas se font entendre moins d’une minute après. Les mains retirées de ton visage, les yeux levés vers Natalia. Forcé de constater qu’il s’agit bel et bien d’elle. Dans tes rêves, dans ton imagination, dans tous ces moments d’absence que tu as eu, vos retrouvailles étaient bien plus romantiques. Aussitôt, tu prends le verre, bois une gorgée… Très grande gorgée. A vrai dire, tu bois l’intégrale de la boisson rafraîchissante. Quitte à t’étouffer. C’est d’ailleurs ta toux qui coupe le long silence qui s’est installé entre vous. Finalement, c’est elle qui ouvre la conversation en faisant ce que tu détestes, ce que tu ne sais tout bonnement pas faire : semblant. Prétendre que tout va bien, que ça ne te retourne pas le cœur de la voir après toutes ces années. Comment peut-elle agir de la sorte ? Agir comme si tu n’étais qu’un ami parmi tant d’autres. A croire que toute la relation que vous aviez construite sur plusieurs années n’était ni plus ni moins qu’un vague souvenir. Cette faculté à jouer la comédie, à savoir si bien cacher ses sentiments, bien que tu sois toi-même assez secret et fier, face à ce choc, tu ne peux tout bonnement pas prétexter de la même façon qu’elle le fait. Encore moins rester de marbre quand elle te félicite pour tes fiançailles. A sa place, tu crèverais de jalousie. Les tables, les fauteuils seraient retournés, certainement défenestrés. « Je suppose que je dois te féliciter aussi pour ce changement de carrière même je ne t’aurais jamais imaginé wedding-planner. » Comme bien souvent, pour te défendre, tu utilises l’attaque, l’ironie, le cynisme. Ainsi, tu es. Ainsi, tu resteras. C’est un mauvais côté de ton caractère. Certainement le pire. Elle le connaît mieux que personne. Plus que n’importe qui, elle en a subi les conséquences lorsqu’elle te disait partir pour deux, trois, quatre parfois cinq mois. La seule façon pour toi de cacher ce que tu ressens. « Tu as attendu que notre relation se termine à cause de l’armée pour la quitter ? » Toutes ces fois où vous avez discuté d’une alternative au métier de militaire, toutes ces conversations qui se sont finies en vain, en dispute… tout ça pour la voir dans un corps de métier drastiquement différent. Comme une trahison, un couteau dans le cœur, le dos et le ventre. Une façon involontaire que la jolie brune a de te blesser, à nouveau. Un pouvoir qu’elle n’a pas perdu sur toi. Bien que te faire souffrir fasse partie de ses dernières volontés, elle le fait, envers et contre tous. Tu hais te savoir encore tellement touché par ce qu’elle te fait ressentir. Les années sont pourtant bel et bien passées, bien qu’on ne le croirait pas en voyant son doux visage de porcelaine. « Bordel… J’étais tellement en colère que Scarlett décide de prendre un wedding-planner que pour me venger, je n’écoutais pas un mot de ce qu’elle me disait à ce sujet-là. Si ça se trouve, elle m’a dit ton nom seulement je ne l’ai pas écouté et maintenant nous voilà. », dis-tu en lâchant un rire nerveux. Tu te lèves du fauteuil brusquement, tout en restant éloigné de ton ex-fiancée. Garder tes distances était, émotionnellement, la meilleure chose à faire pour toi.
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Fuck. Cette situation était vraiment le pire scénario inimaginable ou alors le scénario parfait pour un soap opera. Quand elle avait appris, du moins vu de ses propres yeux que Desmond avait refait sa vie, qu'il avait réussi là où elle s'en sentait incapable, ça lui avait fait un choc. Elle savait qu'elle l'avait laissé filer, qu'il avait suffisamment était patient et qu'elle ne pouvait pas s'attendre à ce qu'il patiente encore en espérant qu'elle finisse par quitter l'armée. Leurs amis communs, du moins ceux qui n'avaient pas choisi leur camp avaient été assez sympas pour ne pas lui révéler qu'il avait retrouvé quelqu'un. Elle qui pensait qu'en renonçant à l'armée il serait toujours là, qu'ils auraient peut-être leur chance, elle se souviendrait toujours de ce couteau reçu en plein coeur quand elle n'avait même pas eu besoin de descendre du taxi qui la conduisait de l'aéroport à chez lui pour le voir en sortir une belle blonde à son bras. Elle ne savait pas si la jeune femme qu'il comptait épouser aujourd'hui était la même. En tout cas, elle avait toujours eu le sentiment qu'il avait su vite tourner la page, sans doute blesser dans son égo et parce qu'elle avait sans doute mis plus de temps à cicatriser. Elle était bien incapable même encore aujourd'hui de faire rentrer quelqu'un dans sa vie, vie devenue enfin plus stable et simple. Est-ce qu'il était nécéssaire de lui exprimer le fond de sa pensée? Lui poser cette question qui lui brûlait les lèvres: est-ce que ça aurait changé quelque chose qu'elle sorte de de fichu taxi pour lui dire qu'elle était enfin de retour et pour de bon cette fois-ci? Elle le respectait trop, lui et son bonheur pour jouer cette carte. Elle avait laissé filé l'homme de sa vie, elle le savait mais elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle, et le voir ici aujourd'hui prêt à passer la bague au doigt à une autre, la faisait bien assez réaliser son erreur et la souffrance qu'elle allait encore s'infliger. Alors faire semblant c'était son meilleur atout, enfin c'était une piètre défense mais elle ne savait pas faire autrement. Et elle savait ce à quoi s'attendre en retour. « Je suppose que je dois te féliciter aussi pour ce changement de carrière même je ne t’aurais jamais imaginé wedding-planner. » Elle esquissa un sourire amusé. Touché. Il n'avait pas changé, c'était sans doute une bonne chose. En même temps, après l'échec de leurs fiançailles, peu de personne avait compris son nouveau choix de carrière, elle la première. « Tu as attendu que notre relation se termine à cause de l’armée pour la quitter ? » Coulé. Elle sentit ses tripes se contracter, mordant sa lèvre pour ne pas se laisser envahir par les souvenirs de ces événements qui l'avaient poussée à quitter l'armée il y a maintenant trois ans. S'il savait. Il faisait partie des raisons pour lesquelles elle avait raccroché. Quand vous étiez prêt à vous faire sauter la cervelle volontairement parce que vous aviez tout perdu, c'était sans aucun doute un signe qu'il était temps de raccrocher avant de finir par presser la détente. Personne ne savait pour cette tentative, sauf un de ses collègues qui l'en avait empêchée et qui avait respecté sa demande de ne rien dire jusqu'à encore aujourd'hui. Elle finit par rire nerveusement, ses doigts tapotant son bureau. "Tu devrais plutôt la remercier non? Grâce à elle tu as fini par rencontrer la femme de ta vie! Elle t'a empêché de faire une erreur non?" Il savait très bien que quand on lui faisait mal, Nat répliquait bien plus fort jusqu'à avoir le dernier mot. Elle savait comment ils fonctionnaient, ces vieux automatismes de dispute, de faire mal là où il faut même si souvent ça se terminait sur l'oreiller. Pas aujourd'hui. "C'est pas comme si j'avais été vite remplacée.. Crois-moi sur ce plan là tu es bien plus avancé que moi.. Je suis même sûre que quand elle va arriver tout à l'heure elle portera la bague de ta grand-mère, la même que tu m'avais offerte.." La meilleure défense qu'elle avait c'était l'attaque, surtout quand elle souffrait comme là actuellement. S'il pensait que savoir qu'il avait refait sa vie, qu'il était prêt à s'engager avec une autre qu'elle ne lui faisait rien. « Bordel… J’étais tellement en colère que Scarlett décide de prendre un wedding-planner que pour me venger, je n’écoutais pas un mot de ce qu’elle me disait à ce sujet-là. Si ça se trouve, elle m’a dit ton nom seulement je ne l’ai pas écouté et maintenant nous voilà. » Elle soupira longuement, le regardant se lever du fauteuil pour s'éloigner d'elle. Sans doute la meilleure chose à faire. "Ne t'en fais pas, ça ne m'enchante pas non plus. Je vais me débrouiller avec un de mes collègues." Elle espérait que l'un d'eux puisse se libérer ou qu'ils échangent leurs dossiers parce que s'infliger une telle torture, elle n'en voulait pas et Desmond non plus, à n'en pas douter.

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